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2 retraités spoliés de leur maison par la mairie socialiste de Bourgoin-Jallieu (38)
5 novembre 2010

Lettre à Alain Cottalorda

Dans le Dauphiné Libéré du 26 octobre, Alain Cottalorda, (maire PS de Bourgoin-Jallieu) se disait attentif à la situation qu'il avait engendré, en préemptant la maison de Annie et André Gerbert 125.000 euros, alors qu'ils avaient trouvé à la vendre 202.000 euros.

Dans cet entretien avec le journaliste, M. Cottalorda essaie de donner de lui même l'image d'un homme de dialogue.
doccottadl261010
Annie et André Gerbert ont été stupéfait de la désinformation dont le maire fait preuve. Aussi ont ils voulu apporter quelques précisions en publiant sur ce blog un courrier à destination du maire.
Courrier_au_cher_Alain__1__28_10_2010
Courrier_au_cher_Alain__2__28_10_2010

En quelques mots.....

Le maire se dit "prêt à discuter", Annie et André lui répondent "Lorsque nous avons posé notre banderole de protestation contre la préemption abusive de notre maison, cher Alain, toi le conciliateur (...) ton premier geste n'a t'il pas été de nous envoyer deux policiers afin que l'on retire cette marque d'infamie?"  (Belle manière, en effet, d'entamer une discussion!!!!!!!!!!)

Le maire trouverait "raisonnable que l'on s'assied autour de la même table", Annie et André lui répondent qu'ils ont toujours accepté de recevoir qui venait les voir. Les seuls élus de la majorité qu'ils ont rencontré sont M. Lavergne (1 fois) et M. Borne (par 2 fois). "Quand nous as tu contacté? Quand nous as tu fait savoir que tu souhaitais nous rencontrer?"

Le maire tente de faire passer les époux Gerbert pour des personnes odieuses "j'ai demandé au médiateur de la république, sollicité par M. Gerbert de transmettre une proposition de négociation, il s'est fait jeté." Annie et André lui répondent "En ce qui concerne le médiateur de la république, Monsieur Bernard Bron, ou donc es tu allé chercher que nous l'avons jeté ? c'est un homme courtois, à l'écoute, qui a parfaitement rempli sa fonction d'intermédiaire et qui nous a été très précieux. (...) "en cherchant absolument à nous discréditer tu as tapé à côté. Bernard Bron est un ami d'enfance (...) et nos rapports ont toujours été excellents."

Annie Gerbert conclut sont courrier
"saches que jamais tu ne pourras acheter, impressionner ou museler toute une population. Les gens ne sont pas des pions que l'on peut déplacer ou ligoter selon le bon vouloir du prince. La personne humaine n'est pas une marchandise et l'esclavage est aboli.(...) Arrêtes de nous écrasez de ta fausse compassion, de ta condescendance et de la soi disant supériorité que te donne ta fonction."

Tel un poisson pris dans la nasse de ses propres incohérences
(voir précédents articles du blog),
M. Cottalorda essaie de s'en sortir
par des gesticulations médiatiques dénuées de véracité.



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